Jambes lourde et insomnie et autre??
Résolu
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3 réponses
Bonjour.
Tu as quel âge ?
Est-ce que tu prend des médicaments ?
Est-ce que tu suis un régime alimentaire quelconque ?
Qu'est-ce qui a changé dans tes habitudes de vie dernièrement ?
Où en est ta tension artérielle ?
re a raison, il y a quelques signes de déprime.
Les vertiges, la journée, et les jambes lourdes, le soir, sont à contrôler.
Tu as quel âge ?
Est-ce que tu prend des médicaments ?
Est-ce que tu suis un régime alimentaire quelconque ?
Qu'est-ce qui a changé dans tes habitudes de vie dernièrement ?
Où en est ta tension artérielle ?
re a raison, il y a quelques signes de déprime.
Les vertiges, la journée, et les jambes lourdes, le soir, sont à contrôler.
L'insomnie, tristesse, grande émotivité, parfois douleurs diffuses peuvent être les signes d'une dépression.
Ne restez pas ainsi et consultez votre généraliste, l'insomnie est épuisante.
Ne restez pas ainsi et consultez votre généraliste, l'insomnie est épuisante.
Bonjour,
La dépression cause des insomnies, certes, mais cela a tendance à nous faire oublier (ainsi que parfois aux médecins) qu'à l'inverse les insomnies causent des dépressions ou des symptômes dépressifs (l'un influence l'autre et réciproquement). Ça paraît évident, mais c'est peu souvent envisagé dans ce sens par la médecine généraliste, et pourtant le bien-être est difficile (pour ne pas dire impossible) sans un bon sommeil. La fatigue chronique qui s'installe peut générer les symptômes que vous décrivez : émotivité, tristesse, sautes d'humeur, irritabilité, fatigue physique, essoufflement, douleurs liées au mauvais sommeil et bien d'autres, parfois même sans qu'on se sente fatigué (surtout dans les insomnies chroniques ou le mal-être devient "la norme").
L'insomnie peut elle aussi être un symptôme d'un "dérèglement" autre ou plus global, il vaut la peine de chercher de l'aide du côté des médecines holistiques, qui essaieront de voir le tout et de ré-équilibrer l'organisme (généralement du côté des médecins alternatives qui s'arrêtent moins au symptôme que la médecine occidentale "classique" plus sectorisée. P.ex médecine chinoise, acupuncture, etc.).
La dépression cause des insomnies, certes, mais cela a tendance à nous faire oublier (ainsi que parfois aux médecins) qu'à l'inverse les insomnies causent des dépressions ou des symptômes dépressifs (l'un influence l'autre et réciproquement). Ça paraît évident, mais c'est peu souvent envisagé dans ce sens par la médecine généraliste, et pourtant le bien-être est difficile (pour ne pas dire impossible) sans un bon sommeil. La fatigue chronique qui s'installe peut générer les symptômes que vous décrivez : émotivité, tristesse, sautes d'humeur, irritabilité, fatigue physique, essoufflement, douleurs liées au mauvais sommeil et bien d'autres, parfois même sans qu'on se sente fatigué (surtout dans les insomnies chroniques ou le mal-être devient "la norme").
L'insomnie peut elle aussi être un symptôme d'un "dérèglement" autre ou plus global, il vaut la peine de chercher de l'aide du côté des médecines holistiques, qui essaieront de voir le tout et de ré-équilibrer l'organisme (généralement du côté des médecins alternatives qui s'arrêtent moins au symptôme que la médecine occidentale "classique" plus sectorisée. P.ex médecine chinoise, acupuncture, etc.).
Concernant l'insomnie plus spécifiquement (et désolée pour ce long post) :
Attention aux somnifères. Les médecins spécialistes du sommeil ne vous les conseilleront généralement pas. Ils sont utiles pour une insomnie passagère (avant un entretien d'embauche, pour dormir en avion, etc.), mais ne traitent pas les insomnies installées et induisent un risque de dépendance (d'autres molécules peuvent être envisagées dans les anti-dépresseurs ou neuroléptiques en très faibles dosages).
Personnellement, je vous conseille d'essayer en premier lieu une "ré-éducation du sommeil" telle que ce que proposent les centres spécialisés de recherche sur le sommeil :
Vous ne dormez pas la nuit et vous endormez d'épuisement vers le matin, le classique des insomniaques dont le système veille ne diminue pas pendant la nuit. A la longue, votre cerveau enregistre qu'il est normal d'être réveillé la nuit (il suffit parfois d'une semaine de mauvais sommeil pour un stress quelconque et l'insomnie est installée même quand le stress a disparu depuis longtemps).
Essayez de réduire le nombre d'heure passées au lit. Ça paraît paradoxal, mais voilà l'idée : en ne vous couchant que quelques heures par nuit et à horaires fixes (p.ex. minuit-5h), votre organisme n'aura au bout d'un certain temps pas d'autre choix que de lâcher le système veille et vous finirez par vous endormir (d'épuisement au début, comme vous le faites actuellement le matin).
En répétant cette plage horaire pendant un certain temps, votre cerveau réapprendra le lien lit-sommeil et vous pourrez progressivement augmenter cette tranche horaire en fonction de vos besoins.
J'ai testé moi-même cette méthode. Quand on m'a proposé de "dormir moins" , moi qui ne dormais déjà pas, j'ai cru rendre l'âme :-), mais en notant mes heures de sommeil pour 8h passées au lit, je me suis rendue compte qu'elles ne dépassaient pas les 3h et qu'elles consistaient en plusieurs "morceaux" de mauvais sommeil.
En réduisant le temps de coucher, je tombais d'épuisement les premiers jours et je crevais d'envie de me coucher plus tôt et de rester au lit le matin. Difficile même de garder les yeux ouverts le soir (lumière, musique, etc.). Mais peu à peu, je me suis couchée et endormie dans les 10minutes. Et peu à peu, j'ai dormi avec de moins en moins de phases de réveil entre deux phases de sommeil, jusqu'à dormir 5h d'affilée. Et là je vous jure que je me sentais 100 fois mieux avec 5h de bon sommeil qu'avec 8h passées au lit à ne pas ou mal dormir et que moi qui me croyait dépressive, j'ai recommencé à vivre.
Après 3ans à dormir une nuit sur 4 et à essayer tous les somnifères possibles, je n'aurai pas cru que l'aide la plus efficace serait aussi "simple". (L'idée est on ne peut plus simple, mais il faut tenir bon, surtout au début. A cela s'ajoute les "habituels" des troubles du sommeil : éviter les siestes, ne pas s'installer dans son lit pour autre chose que dormir, garder un horaire régulier, éviter télévision et ordinateur avant le coucher, etc.)
Tout ceci ne vous empêche bien sûr pas de chercher en parallèle la cause de ce mal-être. Les insomnies usent physiquement, moralement et socialement. La dépression idem. Et l'un va souvent avec l'autre.
Je vous souhaite de retrouver rapidement la forme.
Attention aux somnifères. Les médecins spécialistes du sommeil ne vous les conseilleront généralement pas. Ils sont utiles pour une insomnie passagère (avant un entretien d'embauche, pour dormir en avion, etc.), mais ne traitent pas les insomnies installées et induisent un risque de dépendance (d'autres molécules peuvent être envisagées dans les anti-dépresseurs ou neuroléptiques en très faibles dosages).
Personnellement, je vous conseille d'essayer en premier lieu une "ré-éducation du sommeil" telle que ce que proposent les centres spécialisés de recherche sur le sommeil :
Vous ne dormez pas la nuit et vous endormez d'épuisement vers le matin, le classique des insomniaques dont le système veille ne diminue pas pendant la nuit. A la longue, votre cerveau enregistre qu'il est normal d'être réveillé la nuit (il suffit parfois d'une semaine de mauvais sommeil pour un stress quelconque et l'insomnie est installée même quand le stress a disparu depuis longtemps).
Essayez de réduire le nombre d'heure passées au lit. Ça paraît paradoxal, mais voilà l'idée : en ne vous couchant que quelques heures par nuit et à horaires fixes (p.ex. minuit-5h), votre organisme n'aura au bout d'un certain temps pas d'autre choix que de lâcher le système veille et vous finirez par vous endormir (d'épuisement au début, comme vous le faites actuellement le matin).
En répétant cette plage horaire pendant un certain temps, votre cerveau réapprendra le lien lit-sommeil et vous pourrez progressivement augmenter cette tranche horaire en fonction de vos besoins.
J'ai testé moi-même cette méthode. Quand on m'a proposé de "dormir moins" , moi qui ne dormais déjà pas, j'ai cru rendre l'âme :-), mais en notant mes heures de sommeil pour 8h passées au lit, je me suis rendue compte qu'elles ne dépassaient pas les 3h et qu'elles consistaient en plusieurs "morceaux" de mauvais sommeil.
En réduisant le temps de coucher, je tombais d'épuisement les premiers jours et je crevais d'envie de me coucher plus tôt et de rester au lit le matin. Difficile même de garder les yeux ouverts le soir (lumière, musique, etc.). Mais peu à peu, je me suis couchée et endormie dans les 10minutes. Et peu à peu, j'ai dormi avec de moins en moins de phases de réveil entre deux phases de sommeil, jusqu'à dormir 5h d'affilée. Et là je vous jure que je me sentais 100 fois mieux avec 5h de bon sommeil qu'avec 8h passées au lit à ne pas ou mal dormir et que moi qui me croyait dépressive, j'ai recommencé à vivre.
Après 3ans à dormir une nuit sur 4 et à essayer tous les somnifères possibles, je n'aurai pas cru que l'aide la plus efficace serait aussi "simple". (L'idée est on ne peut plus simple, mais il faut tenir bon, surtout au début. A cela s'ajoute les "habituels" des troubles du sommeil : éviter les siestes, ne pas s'installer dans son lit pour autre chose que dormir, garder un horaire régulier, éviter télévision et ordinateur avant le coucher, etc.)
Tout ceci ne vous empêche bien sûr pas de chercher en parallèle la cause de ce mal-être. Les insomnies usent physiquement, moralement et socialement. La dépression idem. Et l'un va souvent avec l'autre.
Je vous souhaite de retrouver rapidement la forme.
Profitez de cette consultation (gynéco) pour vérifier d'autres points :
La pillule peut aussi parfois causer des dérèglements (poids, sommeil, maux de tête, humeur-moral). Les carences en fer également (sommeil, moral, douleurs articulaires,...), à vérifier lors de la prise de sang.
La pillule peut aussi parfois causer des dérèglements (poids, sommeil, maux de tête, humeur-moral). Les carences en fer également (sommeil, moral, douleurs articulaires,...), à vérifier lors de la prise de sang.
Re-bonjour veille-sommeil.
Pour information :
Sur le site Santé-Médecine, il y a un nombre de bénévoles qui sont des professionnel(le)s de la santé et/ou des personnes ayant une longue expérience dans ce domaine et qui répondent aux questions dès qu'ils ou elles sont disponibles.
Pour certaines questions, la consultation avec un médecin ou un autre professionnel est indispensable. Tu trouveras des informations à ce sujet dans la présentation du site et son guide d'utilisation.
Je te cherche le lien :
http://sante-medecine.commentcamarche.net/contents/ccmguide/ccmcharte.php3
PS : Je mets la question de dy en résolue.
Pour information :
Sur le site Santé-Médecine, il y a un nombre de bénévoles qui sont des professionnel(le)s de la santé et/ou des personnes ayant une longue expérience dans ce domaine et qui répondent aux questions dès qu'ils ou elles sont disponibles.
Pour certaines questions, la consultation avec un médecin ou un autre professionnel est indispensable. Tu trouveras des informations à ce sujet dans la présentation du site et son guide d'utilisation.
Je te cherche le lien :
http://sante-medecine.commentcamarche.net/contents/ccmguide/ccmcharte.php3
PS : Je mets la question de dy en résolue.
21 oct. 2011 à 14:47
21 oct. 2011 à 16:51
Un bilan de ta santé est utile pour voir ce qui se passe en tenant compte de tous les problèmes.
21 oct. 2011 à 20:23
21 oct. 2011 à 22:37
Modifié par begonie le 22/10/2011 à 05:09
Pour être au clair, aborde cette préoccupation en même temps avec ton médecin.
Une prise de sang peut te donner une réponse (médecin, gynécologue, labo).
Pour ton information :
https://www.journaldesfemmes.fr/maman/guide-grossesse/2416342-symptomes-grossesse/