Troubles bipolaires

catherine - 20 avril 2012 à 11:09
mymy79 Messages postés 42 Date d'inscription dimanche 4 janvier 2015 Statut Membre Dernière intervention 19 janvier 2015 - 4 janv. 2015 à 13:18
Bonjour, Quel traitement existe contre les troubles bipolaires ? Comment s'en sortir ? Merci !
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12 réponses

Bonjour, Suite à votre message, je vous conseille de demander à votre généraliste qu'il vous prescrive du LAMICTAL, car j'ai vu sur plusieurs forums que c'était le mieux pour les troubles bipolaires. Amicalement.
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Après un traitement qui ne m'a pas convenu, on m'a enfin prescrit du ZYPREXA. Je n'ai pas une vie facile mais ce traitement m'aide à faire face. Je me sens enfin bien cadrée. Bref, je me sens revivre.
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Je ne sais pas ce que ça donnera dans le futur mais je gère la bipolarité par la pleine conscience... dès que une pente se présente je relis les principes de Bhouda et je Respire (yoga)... Les Médocs n'ont que des effets nocifs sur moi. Si quelqu'un a une idée supplémentaire... J'essaye coute que coute de protéger mon homme et mes petits!!!
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mymy79 Messages postés 42 Date d'inscription dimanche 4 janvier 2015 Statut Membre Dernière intervention 19 janvier 2015 2
4 janv. 2015 à 13:18
Bonjour julie
Bouddha c bien mais ce n'est pas suffisant pour parer aux troubles bipolaires.
C bio chimique cette maladie si toutefois tu es réellement bipolaire car beaucoup d'autres maladie/troubles sont apparentées à celle ci comme la cyclothymie...
Il faut au moins un traitement pour réguler l'humeur
En espérant t'avoir aidée

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J'ai été diagnostiquée bipolaire, 2 traitements m'ont été prescrits, aucun des 2 ne m'a convenu à cause des effets secondaires. Je vais retourner voir le médecin pour qu'il me propose autre chose. J'espère que ça va marcher cette fois ci. Au C.M.P, on me dit de ne pas m'inquiéter, qu'on va finir par trouver un traitement qui me convient. Bon courage à toi, Catherine. Surtout, ne reste pas seule avec cette maladie. A bientôt.
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Bonjour, Je ne suis pas Bipolaire mais mon copain si, il est enfermé pour le moment. Je sais pas comment m'y prendre avec lui. Pouvez-vous m'aider à mieux comprendre sa maladie. Je l'aime mais ses crises sont dures à gérer.
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Allez écouter ce témoignage rassurant : marjolaine-in-india.pagesperso-orange.fr/rfb-2011.html
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J'ai appris hier soir en lisant les témoignages ça redonne un peu de patate ,j ai cru que la femme de ma vie ne m'aimait plus ni même ses enfants, mais attention au facteur déclenchant. Alcool, trop de sommeil et je pense que le manque d activités n aide pas non plus.mais voila c'est un trouble reconnu et qui apparemment se soigne très bien avec un traitement ,surtout pas d anti-dépresseurs j espère voir le bout du tunnel. ouaff! 1 verre de rouge égal une bouteille, un anti-dépresseur multiplie tout cela par dix 25 ans de gaec et cela va continuer
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Je suis bipolaire, j'habite à coté d'Albi dans le 81 et je souhaiterais trouver une Association ou un groupe de Parole regroupant des malades bipolaires. merci
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Helene1960 Messages postés 1 Date d'inscription samedi 3 janvier 2015 Statut Membre Dernière intervention 3 janvier 2015
3 janv. 2015 à 11:39
Bonjour
Avez-vous trouvé une Association prés de chez vous?
Si oui pourriez vous m'indiquer le nom et lieu
Merci
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Bonjour, je vis à Toulouse et je suis bipolaire. Il y a une association sur St Cyprien qui je crois s'appelle Bipole 31. Je travaille juste à côté mais je n'en fais pas partie. Je ne sais pas ce qu'elle vaut non plus. Sinon il y a un site et son forum très bien faits qui s'appelle BIPOTE... Voilà, j'espère vous avoir éclairé. Bon courage à vous.
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moi je suis perdue et je decois mon entourage c est un vrai calvaire je pers tousles gens qui m entoure j en arrive meme a ma perdre moi meme
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Je ne sais pas si c'est très rassurant mais tu n'es pas un cas isolé : je suis exactement dans la même situation que toi. Je crois qu'accepter notre condition fait du bien, se dire qu'après tout le bonheur ne fait pas partie de la vie de tout le monde, que cette course vers lui n'est pas obligatoire et que vivre c'est déjà bien. C'est peut-être pas joyeux et à contre-courant mais ça apaise de penser aux bases : manger, dormir, respirer. Le reste ? On verra plus tard ! Ou jamais... Et alors ?? ^^
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je suis bipolaire type 2 Consultez votre generaliste et eventuellement un suivi pychologique et pshy trs important cest une maladie bizarre ou l on ressent les emotions
d une maniere exacerbeee des hauts des bas j ai du arreter de travailler depuis 2ans mais jai un traitement ***** ne restez pas seul ou seule ssive
les symptomes sont variables mais cest caracterise par des crises d angoisse panique grosse fatigue idees noires dans la phase depressive avec perte d interet dans son boulot dans lavenir sensation imminente de mort parfois
puis cela se tasse en stand by puis phase manique effet inverse envie de profiter de la vie comme si cetait votre denire jour a vivre donc energie debordante projet sortie depense un traitement medical est souvent necessaire l entoutrage a du mal a comprendre efamille amis boulout il faut eviter les exces tabac alcool drogues faites ce qui vous plait un jour si vous eters fatigues reposez vous ce sont des symptomes pas de votre faute je suis soigne depuis 5ans cest dur
mais vous etes une star la plupart des bipo sont creatifs les exemples ne manquent pas
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bon courage abientot
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voyez un medecin et un psy en priorite
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ne grande dépression, suivie quelques semaines plus tard d'une phase d'euphorie et d'hyperactivité souvent dangereuse... Le trouble bipolaire est une pathologie grave et chronique, qui doit être traitée. Même si cela prend du temps et de l'énergie, les patients peuvent apprendre à vivre avec leur maladie et à préserver leur vie professionnelle et privée.

Durant la phase dépressive, il est important que les proches soutiennent la personne bipolaire, qui peut avoir des idées suicidaires.

Relativement répandus et pourtant méconnus du grand public, les troubles bipolaires effraient, notamment à cause du comportement apparemment incontrôlable du patient. La maladie évolue par cycles : pendant quelques jours ou quelques semaines, le patient souffre des symptômes de la dépression. Il n'a envie de rien, dort tout le temps, démissionne complètement face aux tâches quotidiennes, a une libido en berne... Quelque temps plus tard, il devient au contraire hyperactif, déborde de projets, dépense sans compter, est totalement désinhibé, commet tous les excès. L'ennui, c'est que ces phases dites maniaques sont souvent vécues par le malade comme des moments positifs car il se sent supérieur et tout-puissant. D'où la difficulté de diagnostiquer la maladie puisqu'il n'évoquera pas ces épisodes devant le médecin.
» Le premier élément pour mieux vivre avec sa maladie consiste donc à établir le diagnostic avec un médecin. On estime qu'entre 1 % et 2 % de la population souffrirait de troubles bipolaires. Mais beaucoup s'ignorent et tombent dans l'errance diagnostique pendant plusieurs années. Les malades consultent essentiellement pendant les phases dépressives et sont donc soignés pour dépression. Or il ne s'agit pas du tout de la même maladie : les troubles bipolaires sont provoqués par des dérèglements chimiques dans le cerveau différents. Les antidépresseurs sont alors inefficaces. Au contraire, cela risque d'aggraver les symptômes de sa phase maniaque.
» Une fois le diagnostic posé, il faut réussir à l'accepter. C'est d'autant moins facile que les maladies de l'humeur sont encore taboues et font parfois honte, à tort bien sûr. Il est essentiel, à cette étape, de se renseigner sur sa maladie, sur la façon dont elle agit sur le cerveau, pour l'apprivoiser. Comprendre pourquoi on réagit excessivement ou pourquoi on sombre permet de relativiser et de déculpabiliser.
Avec le temps, le malade apprend également à reconnaître les symptômes annonciateurs d'une crise, maniaque ou dépressive. Il identifiera aussi les situations qui peuvent potentiellement déclencher un de ces accès et pourra ainsi les éviter ou les limiter. Les réunions professionnelles où l'on brasse les projets, les fiestas survoltées sont globalement à proscrire ou à consommer à faible dose.

Lors des phases de manie, les proches peuvent tenter de canaliser l'énergie et les impulsions du malade, pour lui éviter des désagréments.


»La prise régulière et à vie des médicaments prescrits par le médecin est indispensable. Il s'agit souvent de médicaments à base de lithium. Ce sel minéral a la propriété de stabiliser l'humeur rapidement. Quelques traitements apparentés existent également. Dans la grande majorité, ces médicaments s'avèrent efficaces. Mais pour ça, ils doivent être pris quotidiennement, quelles que soient les circonstances. Beaucoup de malades, une fois qu'ils se sentent mieux, sont tentés de les abandonner, notamment en raison de possibles effets secondaires (altération de la vigilance, diminution de la rapidité des réflexes...). Pour l'instant, on ne sait pas guérir les troubles bipolaires et seuls les médicaments peuvent permettre d'avoir une vie "normale". Il est fortement recommandé d'associer ce traitement médicamenteux à une psychothérapie.
» Avoir une bonne hygiène de vie est indispensable pour faire régresser l'apparition des symptômes et le déclenchement des crises. Il est notamment très important d'avoir un sommeil réparateur, avec des heures de coucher régulières et au moins sept heures de sommeil par nuit. Eviter grasses matinées et nuit blanche également... Si certains connaissent des problèmes d'endormissement, faire un peu de sport dans la journée (mais pas le soir) est conseillé. L'alcool à haute dose est particulièrement dangereux chez les personnes bipolaires. On note d'ailleurs une prévalence beaucoup plus forte de l'alcoolisme chez les bipolaires que dans l'ensemble de la population. Mieux vaut donc s'en tenir éloigné autant que possible. Même chose pour tous les types de drogues. L'idéal est d'avoir une vie la plus "réglée" possible.
"Parler avec d'autres malades"
» Au-delà du soutien psychologique des professionnels, l'aide des proches s'avère souvent primordiale. Ils ont un rôle clé et très difficile à tenir. Ils sont souvent en première ligne lorsque les crises se déclenchent : c'est à eux de soutenir le malade dans sa phase dépressive, de le gérer dans sa phase maniaque, où lui-même peut alors apparaître comme un boulet, incapable de suivre le rythme. Le proche est également le premier à subir les conséquences des excès du malade, notamment au plan financier. Il n'est donc pas rare que la situation dégénère en conflit, voire en rupture, amicale ou affective. Pourtant, si les deux partis prennent le temps de discuter calmement de la maladie, d'un " contrat " qu'ils peuvent passer, les proches sont alors de véritables béquilles, qui aident à mener une vie harmonieuse. Ils "rattrapent" les excès, aident à ne pas sombrer. Ils doivent être partie intégrante du parcours de soins et rencontrer eux aussi le médecin et le personnel médical qui soignent le patient.
» Comme beaucoup de maladies chroniques, les troubles bipolaires ont tendance à isoler. Renouer des contacts au sein d'associations de malades représente un double intérêt : socialiser à nouveau et rencontrer des personnes dans la même situation. Il peut ainsi être plus facile de discuter des différents aspects de sa maladie, voire d'obtenir des conseils.
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bonjour, inscrivez-vous dans un club de yoga
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